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Études sociales / Histoire et géographie   Bienvenue au Curriculum l'Ontario d'Histoire 
                      Palier Élémentaire, 7e et 8e année
      

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Histoire 7e année
Histoire 8e année

 

                                                                                                  Palier Secondaire   

Histoire, 7e année


Ressources Pédagogiques, 7e année

- Le développement du Haut-Canada

– Les relations entre les Canadiens français et les       Canadiens anglais

– L’avènement d’un gouvernement responsable

Attentes

À la fin de la 7 e année, l’élève doit pouvoir :

   décrire l’établissement de divers groupes ethniques dans le Haut-Canada.

   expliquer les principaux facteurs qui ont contribué au développement du Haut-Canada.

   analyser certains aspects des relations entre les populations d’origine anglaise et d’origine française au Canada.

   évaluer les conséquences des rébellions de 1837-1838 sur l’évolution du système gouverne-mental canadien.

 analyser l’influence des personnages historiques qui ont joué un rôle clé dans l’avènement d’un gouvernement responsable.

 démontrer sa compréhension de différents types de conflits et des moyens pris pour les résoudre.

 

Contenus d’apprentissage

Pour satisfaire aux attentes, l’élève doit pouvoir :

Le développement du Haut-Canada

– déterminer l’origine ethnique des principaux groupes d’immigrants qui se sont installés dans le Haut-Canada au cours des XVIII e et XIX e siècles.

– situer, sur une carte du Haut-Canada ou de l’Ontario, les régions où se sont installés les Canadiens français venant du Bas-Canada, les Loyalistes, les Anglais, les Irlandais, les Écossais et les Allemands.

– relever des ressemblances et des différences dans la position des Canadiens français et des Loyalistes face à la Révolution améri-caine (p. ex., la fidélité à la Couronne; les idéaux de liberté).

– expliquer de quelle façon le gouvernement est venu en aide aux Loyalistes lors de leur établissement dans le Haut-Canada (p. ex., l’octroi de terres).

– établir des liens, à partir de ses recherches, entre la situation des réfugiés d’aujourd’hui au Canada et celle des Loyalistes dans le Haut-Canada.

– comparer le système de canton et de con-cession adopté par les Canadiens anglais et le système seigneurial en vigueur en Nouvelle-France.

– décrire les principaux facteurs qui ont contribué à la fondation de villes dans le Haut-Canada.

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «réfugiés», «Loyalistes», «canton», «concessions», «système seigneurial».

Les relations entre les Canadiens français et les Canadiens anglais

– dégager les principales conséquences sociales, économiques et politiques qui ont résulté de la promulgation après la Conquête de textes juridiques tels que la Proclamation royale de 1763, l’Acte de Québec de 1774 et l’Acte constitutionnel de 1791.

– établir des liens de cause à effet entre l’arrivée des Loyalistes et le renouvellement des structures gouvernementales en 1791.

– reconnaître les principales causes de la guerre anglo-américaine de 1812-1814 et les personnages importants qui ont joué un rôle (p. ex., Isaac Brock; le général Procter; Charles-Michel de Salaberry; le chef Tecumseh; Laura Secord).

– décrire les effets de la guerre de 1812-1814 sur le développement du Haut-Canada (p. ex., le canal Rideau; le chemin Kingston; la démarcation de la frontière dans la région des Grands Lacs qui a forcé le déménagement des Métis désirant demeurer sur le sol canadien).

– expliquer en quoi la guerre de 1812-1814 a eu un effet positif sur les relations entre les Canadiens français et les Canadiens anglais.

– comparer les aspirations sociales et com-merciales des sociétés canadienne-française et canadienne-anglaise à la veille des rébellions de 1837-1838.

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «Proclamation royale», «Acte de Québec», «Acte constitutionnel de 1791», «aspirations».

L’avènement d’un gouvernement responsable

– déterminer les causes de la double rébellion de 1837-1838 dans le Bas-Canada et le Haut-Canada et retracer les principaux événements qui l’ont précédée (p. ex., la structure gouvernementale établie dans l’Acte constitutionnel de 1791; les aspirations nationalistes du Bas-Canada; la crise des finances publiques; le projet d’union; les crises parlementaires).

– préciser le rôle du gouvernement dans les rébellions de 1837-1838, en particulier celui du gouverneur général, du lieutenant-gouverneur, du conseil législatif, du conseil exécutif et de l’assemblée législative.

– analyser le rôle joué ou l’influence exercée par certains personnages et certains regroupements politiques à l’époque des rébellions de 1837-1838 (p. ex., Louis Joseph Papineau; William Lyon Mackenzie; sir Francis Bond Head; John Russell; lord Durham; la Clique du château; le Family Compact; les Patriotes; les Réformistes).

– reconstituer les principaux événements de la double rébellion de façon à les situer sur une ligne du temps (p. ex., le boycottage des produits britanniques; les attaques des Patriotes et des Réformistes; l’exil de Papineau et de Mackenzie; la proclamation de la loi martiale; l’arrivée de lord Durham; la cour martiale; les pendaisons et les exils).

– relever et expliquer les principaux changements qui ont découlé des rébellions de 1837-1838 tels que l’adoption de l’Acte d’union et la création du Canada-Uni ainsi que, finalement, l’établissement d’un gouvernement responsable.

– dresser le portrait de la présence française dans le Haut-Canada au moment de la création de cette province en 1791 et vers 1855, après l’Acte d’union (p. ex., les éta-blissements; les activités économiques comme le transport des marchandises ou l’agriculture; les institutions).

– évaluer l’efficacité des rébellions de 1837-1838 dans le cadre d’une étude sur le conflit et sa résolution.

– relever, en faisant des recherches, les types de conflits rapportés dans l’actualité et évaluer les moyens auxquels on a recours pour les régler (p. ex., la création de com-missions royales d’enquête au Canada; l’envoi des casques bleus pour surveiller le respect des accords de paix).

– distinguer les faits des opinions dans les textes du passé, tels que des extraits du rapport Durham, de la correspondance échangée, des pamphlets et des journaux de l’époque.

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «assemblée», «droit de veto», «négociation», «révolution», «rébel-lion», «conflit», «résolution», «soulèvement armé».

 

Histoire, 8e année


Ressources Pédagogiques, 8e année

– La formation de la nation canadienne

– Le développement de la nation canadienne

– Le Canada, une société en évolution

Attentes

À la fin de la 8 e année, l’élève doit pouvoir :

 expliquer certains facteurs qui ont contribué à la création de la Confédération en 1867.

 retracer l’évolution du pacte fédératif canadien, de 1867 jusqu’à nos jours.

 démontrer sa compréhension de la contribution de divers groupes et personnalités au développement de l’Ouest canadien.

 expliquer l’importance des mouvements migratoires dans l’évolution de la société canadienne.

 expliquer la participation du Canada à la Première Guerre mondiale.

 reconnaître plusieurs facteurs et plusieurs personnalités qui ont contribué à l’évolution de la société canadienne.

 

Contenus d’apprentissage

Pour satisfaire aux attentes, l’élève doit pouvoir :

La formation de la nation canadienne

– décrire les traits sociaux du Canada-Ouest à la veille de la Confédération (p. ex., la récente vague d’immigration irlandaise; l’arrivée par la route du chemin de fer clandestin de Noirs fuyant les États esclavagistes du sud des États-Unis; le sys-tème scolaire en place et l’accès à l’éduca-tion; les tensions entre divers groupes de la société).

– expliquer, en soulignant les liens de cause à effet, comment les modifications dans les rapports commerciaux entre l’Angleterre et ses colonies de l’Amérique du Nord ont pu conduire au pacte fédératif (p. ex., le protectionnisme; le libre-échange).

– comparer la position des six colonies de l’Amérique du Nord britannique à la veille de la Confédération, en particulier leur autonomie et leurs intérêts communs quant à leur participation à un pacte fédératif (p. ex., l’ouverture des marchés du Canada-Uni pour les produits des colonies de l’Atlantique).

– recueillir et présenter des données sur les différents points de vue au sujet de la Confédération, en particulier sur ceux de ses principaux partisans et adversaires (p. ex., les Canadiens français et les Canadiens anglais au Canada-Est; les Canadiens anglais au Canada-Ouest; les Acadiens; les peuples autochtones; sir John A. Macdonald; George Brown; sir George-Étienne Cartier; Joseph Howe; sir Antoine-Aimé Dorion).

– reconnaître et placer en ordre chronologique les faits importants qui ont conduit à la création de la Confédération en 1867 (p. ex., les facteurs internes et externes tels que le traité de réciprocité, la question des transports et de la défense, le principe de la destinée manifeste, les lois sur les céréales; la conférence de Charlottetown, de Québec, de Londres).

– reconnaître les deux grandes étapes vers l’autonomie politique depuis 1867, c’est-à- dire le Statut de Westminster en 1931 et le rapatriement de la Constitution en 1982.

– analyser une situation particulière qui démontre la valeur du compromis dans le maintien de l’unité canadienne (p. ex., le pacte fédératif est un compromis entre les aspirations vers un fédéralisme de style américain et un parlementarisme de style britannique; les provinces ont le droit de se retirer de certains programmes fédéraux; plus récemment, certaines aspirations à l’autonomie territoriale des peuples autochtones sont reconnues par la signature de traités).

– proposer des hypothèses qui expli-queraient pourquoi les accords Meech et de Charlottetown n’ont pas été ratifiés.

– expliquer le principe de la démocratie parlementaire et préciser la forme qu’elle prend dans quelques pays (p. ex., une monarchie constitutionnelle au Canada, en Espagne, au Danemark; une république en France, aux États-Unis, en Allemagne).

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «protectionnisme», «libre-échange», «entente de réciprocité», «des-tinée manifeste», «chemin de fer clandes-tin», «compromis», «démocratie parlementaire», «monarchie constitution-nelle», «république».

Le développement de la nation canadienne

– retracer l’évolution du territoire canadien de 1867 à nos jours à l’aide de cartes his-toriques reflétant les changements de frontières ou à l’aide d’autres moyens (p. ex., les années d’entrée dans la Confédération, de reconnaissance comme province ou territoire; l’avance du chemin de fer vers l’Ouest; la modification des frontières provinciales ou territoriales).

– présenter, à partir de ses recherches, les intérêts des principaux groupes ou orga-nismes quant à l’Ouest canadien, de la Confédération à la Première Guerre mondiale (p. ex., la Grande-Bretagne; la Compagnie de la baie d’Hudson; les peuples autochtones; les Métis; le gouvernement du Canada; les immigrants installés dans les Prairies; la police montée du Nord-Ouest).

– reconnaître la séquence chronologique des événements qui ont marqué l’histoire de l’Ouest (p. ex., la grande marche de la police montée du Nord-Ouest; la rébellion de la Rivière-Rouge; la création de la province du Manitoba; la construction du chemin de fer; la rébellion du Nord-Ouest; la crise scolaire du Manitoba; la création des provinces de la Saskatchewan et de l’Alberta).

– analyser la condamnation de Louis Riel en relevant les opinions émises à l’époque et la position actuelle et d’alors du gouvernement canadien.

– retracer les efforts pour donner un statut officiel à la langue française dans l’Ouest canadien (p. ex., les garanties linguis tiques inscrites dans la Loi de 1870 sur le Manitoba (à l’époque le Manitoba Act ); la crise scolaire du Manitoba en 1890; le jugement dans la cause Mahé en Alberta en 1990; la cause des parents franco-manitobains contre le Public Schools Act en mars 1993).

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «Métis», «exil», »unification», «démographie», «garanties linguistiques».

Le Canada, une société en évolution

– démontrer sa compréhension des facteurs de changement dans une société (p. ex., l’immigration; les politiques; la technologie; les guerres; la mondialisation des échanges).

– comparer les principales conditions d’immigration imposées par le gouvernement canadien au tournant du siècle à celles d’aujourd’hui.

– reconnaître les grands courants migratoires survenus au Canada entre 1867 et 1914 et en décrire les effets (p. ex., la diversification du milieu urbain; le développement de l’industrie et du commerce; les conditions de travail et l’organisation des travailleurs en syndicats; l’accroissement de la population).

– reconnaître que certaines mesures sociales ont entraîné une amélioration des conditions de vie des enfants par rapport au monde du travail (p. ex., la fréquentation scolaire obligatoire; des restrictions d’âge minimum pour le travail).

– démontrer sa compréhension de la participation du Canada à la Première Guerre mondiale (p. ex., les raisons de la participation du Canada à une guerre opposant des pays européens; les grandes batailles; la signature de l’armistice le 11 novembre).

– expliquer les problèmes politiques qu’a exacerbés cette participation (p. ex., le nationalisme canadien-français et la crise de la conscription).

– retracer, dans ses grandes lignes, l’historique de l’éducation en langue française en Ontario (p. ex., la situation au moment de la Confédération; le Règlement 17 en 1912; les projets de loi 140-141 en 1968; le projet de loi 160 en 1997).

– présenter, à partir de ses recherches, des personnalités qui ont contribué à l’obtention d’un statut d’égalité pour les femmes canadiennes (p. ex., Nellie McClung; Emily Murphy; Agnes Macphail; Jeanette Lavell; Thérèse Casgrain; Judy LaMarsh).

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «statut juridique», «droit de vote», «syndicat», «conditions de travail», «stéréotypes», «préjugés».

 

 

 

Mise à jour:  mars  2004

Jacynthe Proulx - FL05-02 ©
École des Sciences de l'Éducation 
Université Laurentienne, 2003-2004