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Études sociales / Histoire et géographie   Bienvenue au Curriculum l'Ontario de Géographie 
                      Palier Élémentaire, 7e et 8e année
      

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Géographie 7e année
Géographie 8e année

 

Palier Secondaire 

Géographie 7e anné

– Les questions géographiques

– Les constantes physiques

– L’exploitation des ressources naturelles

 

Attentes

À la fin de la 7 e année, l’élève doit pouvoir :

 analyser des questions géographiques.

 analyser des constantes physiques dans le monde.

 démontrer sa compréhension de l’importance des richesses naturelles dans le                 développement

 analyser les effets des méthodes d’exploitation sur nos richesses naturelles.

Contenus d’apprentissage

Pour satisfaire aux attentes, l’élève doit pouvoir :

Les questions géographiques

– organiser ses recherches en tenant compte de certains des grands thèmes en géographie, à savoir l’emplacement et la localisation, l’environnement, l’interaction, la région ou le mouvement (p. ex., pour préciser l’emplacement ou la localisation d’une nouvelle ressource).

– examiner des phénomènes naturels (p. ex., les inondations ou les courants marins) et décrire leurs effets sur le milieu humain et l’environnement.

– comparer les effets des activités humaines sur l’environnement selon différents points de vue (p. ex., la coupe du bois; les déchets spatiaux; les sites d’enfouissement; la couche d’ozone; le dépôt et l’entreposage des déchets toxiques).

– présenter, à partir de tableaux ou d’autres moyens, des régions où les risques de catastrophes naturelles sont grands et reconnaître les constantes (p. ex., les glissements de terrain; les avalanches; les incendies de forêts).

– décrire les mesures d’urgence mises en œuvre lors d’un désastre naturel et nommer les organisations qui fournissent de l’aide en de telles circonstances (p. ex., les forces armées; la Croix rouge).

– reconnaître la nécessité de prévoir des mesures d’urgence à différents niveaux (p. ex., les exercices d’évacuation en cas d’incendie dans les écoles; les plans d’évacuation dans les villes).

– expliquer la contribution de scientifiques canadiens dans le domaine de la géographie (p. ex.,Tuzo Wilson et la dérive des continents; Sandford Flemming et les fuseaux horaires).

– décrire des métiers reliés à la géographie (p. ex., le cartographe ou la climatologue) ainsi que des outils de géographe (p. ex., l’altimètre; la photographie aérienne; le séismographe; le magnétomètre).

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «phénomènes naturels», «emplacement», «localisation», «séisme», «éruption volcanique», «courant marin», «altimètre».

Les constantes physiques

– expliquer pourquoi l’utilisation de constantes facilite l’étude de la géographie (p. ex., cela permet de généraliser).

– identifier les principales formes du relief terrestre et analyser le caractère distinctif des régions naturelles qu’elles façonnent (p. ex., la cordillère le long de la côte ouest du continent américain).

– décrire le bassin hydrographique des grands systèmes fluviaux du monde en utilisant des croquis, des maquettes, des cartes, des coupes transversales ou d’autres moyens [p. ex., l’Amazone; le Nil; le Saint-Laurent; le Chang jiang (parfois appelé le Yangtze ou Yangzi)].

– identifier les constantes climatiques à l’échelle mondiale et démontrer en se servant de divers moyens, tels que des climogrammes (ou climatogrammes), des cartes, des tableaux ou des statistiques, qu’elles résultent de l’interaction de nombreux facteurs, tels que la latitude, l’altitude, les masses d’air, les grandes étendues d’eau et les courants marins.

– expliquer comment les constantes de végétation naturelle résultent de l’interaction de facteurs tels que la température, les précipitations, les types de sol et les éléments nutritifs.

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «constantes climatiques», «précipitations», «climogramme», «bassin hydrographique», «systèmes fluviaux», «végétation naturelle», «masses d’air», «altitude».

L’exploitation des ressources naturelles

– indiquer où se trouvent les principales ressources naturelles du Canada en utilisant des cartes, des tableaux, des diagrammes ou d’autres moyens, et expliquer leur importance économique (p. ex., l’exploitation de la forêt permet la fabrication de papier journal, dont le Canada est l’un des premiers producteurs mondiaux). 

– distinguer, en donnant des exemples, les trois types d’agriculture : agriculture de subsistance, agriculture commerciale et agriculture spécialisée.

– relier des constantes physiques à des récoltes particulières et à des types d’agriculture (p. ex., la culture des bananes en climat tropical relève de l’agriculture spécialisée).

– expliquer l’influence sur l’agriculture de constantes, telles que la localisation, le climat, le sol, le relief et la végétation naturelle, et de facteurs, tels que la technologie, les marchés et le transport.

– utiliser des tableaux de l’offre et de la demande pour faire des prévisions à long terme sur l’approvisionnement en ressources naturelles.

– reconnaître l’importance de la collaboration internationale en matière de gestion des ressources naturelles et répertorier des situations qui requièrent cette collaboration (p. ex., la diminution de la grande forêt équatoriale de l’Amazonie; la diminution de la couche d’ozone).

– proposer des options, à court et à long terme, pour protéger les ressources naturelles tout en favorisant l’essor économique (p. ex., le reboisement; le recyclage du papier; l’exploitation de sources d’énergie renouvelables et non polluantes).

– analyser, en donnant des exemples, les effets de la technologie dans l’exploitation, la transformation et la mise en marché de nos ressources naturelles (p. ex., la pêche industrialisée et l’épuisement des bancs de poissons; la culture intensive et l’abondance des denrées alimentaires dans les pays industrialisés; la robotique dans les industries et le besoin d’une main-d’œuvre spécialisée).

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «épuisement des ressources», «pollution», «conservation», «préservation», «climat tropical», «bancs de poissons», «écosystèmes», «essor économique».

 

Géographie, 8e année

– Les constantes humaines

– Les mouvements migratoires

– La mondialisation de l’économie

Attentes

À la fin de la 8 e année, l’élève doit pouvoir :

 expliquer l’interaction entre les constantes en géographie et l’activité humaine.

 analyser les facteurs qui influent sur la mobilité des populations, des peuples et des particuliers pour en reconnaître les conséquences.

 analyser les principaux facteurs qui influent sur l’économie.

 expliquer les relations économiques du Canada avec d’autres pays.

Contenus d’apprentissage

Pour satisfaire aux attentes, l’élève doit pouvoir :

Les constantes humaines

– inventorier et décrire des constantes humaines telles que la densité de population, l’alimentation, l’alphabétisation ou le taux de natalité.

– analyser l’influence des constantes humaines sur le développement des communautés (p. ex., l’alphabétisation et le niveau de vie; la densité de la population et la diversité des services dans les pays industrialisés).

– établir des liens entre l’aménagement du territoire et les activités humaines (p. ex., la division en secteurs résidentiel, commercial et industriel; l’établissement d’aires réservées aux écoles, aux institutions, aux services; l’établissement de zones touristiques, récréatives, agricoles ou de transport; l’aménagement de parcs municipaux, provinciaux et nationaux).

– analyser les conditions qui contribuent à l’urbanisation telles que le développement du réseau routier et du transport en commun, l’établissement d’industries ou la spécialisation de l’agriculture.

– expliquer l’influence de facteurs tels que l’alphabétisation, la fréquence de catastrophes naturelles ou les conflits armés sur le niveau de vie d’un pays.

– décrire ce qu’est le produit national brut (PBN) et comment il permet de mesurer le niveau de vie d’un pays.

– comparer la structure et le fonctionnement d’organismes qui ont pour mandat d’aider les pays en voie de développement ainsi que leurs programmes d’aide [p. ex., la Fondation canadienne contre la faim (FCCF); l’Agence canadienne de développement international (ACDI)].

– exposer et défendre son point de vue sur les responsabilités des pays développés à l’égard des pays en voie de développement (p. ex., les dangers de l’instabilité sociale pour la paix mondiale; les résultats décevants des programmes d’aide précédents; le réajustement des programmes d’aide pour insister sur la coopération et l’exportation d’un savoir-faire et de techniques favorisant l’autonomie).

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «alphabétisation», «taux de natalité», «aménagement territorial», «secteur résidentiel», «zone agricole», «réseau routier», «produit national brut».

Les mouvements migratoires

– expliquer la terminologie suivante : mobilité économique, sociale et géographique, migration, immigration et émigration.

– distinguer divers types d’immigration (p. ex., l’immigration libre, involontaire, en chaîne).

– relever, à partir de sources variées, des facteurs qui incitent des groupes ou des particuliers à émigrer (p. ex., la guerre; la pauvreté; la persécution; le climat; la réunion des familles).

– reconnaître ce que sont des frontières ouvertes et des frontières fermées et en donner plusieurs exemples (p. ex., des frontières ouvertes entre les pays de la communauté européenne, entre le Canada et les États-Unis; des frontières fermées entre la Corée du Nord et la Corée du Sud).

– expliquer des situations particulières qui se produisent dans un contexte de diversité ethnoculturelle (p. ex., le métissage; l’intégration; l’enrichissement du mode de vie; la ségrégation; l’assimilation; le racisme) et les associer à des circonstances précises au  Canada.

– expliquer les conditions actuelles d’entrée au Canada pour les immigrants ou les visiteurs.

– décrire les difficultés que rencontrent les immigrants à leur arrivée (p. ex., l’apprentissage d’une nouvelle langue; l’adaptation aux coutumes; le manque d’argent; la recherche d’un emploi).

– proposer plusieurs façons d’aider les immigrants à s’adapter.

– expliquer les facteurs qui ont influé sur le choix d’établissement au Canada de groupes ethnoculturels et qui en ont déterminé la répartition démographique (p. ex., la concentration des membres d’un groupe ethnique dans un endroit : les Chinois à Vancouver; un relief familier : les Finlandais à Sudbury; la spécialisation de l’expertise : les Canadiens français dans les régions forestières de Hearst).

– analyser les effets de l’immigration et de l’émigration sur la société canadienne (p. ex., la diversification du paysage culturel canadien; l’hémorragie de spécialistes canadiens au profit des États-Unis).

– décrire, dans ses grandes étapes, l’évolution des techniques de communication et de la gestion de l’information (p. ex., la presse à imprimer; la télégraphie; le téléphone; le télécopieur; le courrier électronique; le stockage sur disquettes).

– analyser l’influence de la technologie sur la mobilité de la main-d’œuvre canadienne.

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à  l’étude tel que «frontières ouvertes», «frontières fermées», «migration», «mobilité», «ghetto», «immigration», «émigration», «réfugiés».

La mondialisation de l’économie

– expliquer les secteurs primaire, secondaire, tertiaire et quaternaire de l’économie et analyser leur interdépendance.

– illustrer le principe de l’offre et de la demande et déterminer les facteurs possibles qui entraînent des fluctuations.

– déterminer, d’après ses recherches, des problèmes reliés aux ressources dans l’économie mondiale, tels que la fluctuation dans les marchés et les effets sur les produits canadiens, et proposer des solutions.

– expliquer, en donnant des exemples, les étapes de la fabrication et de la mise en marché d’un produit.

– situer, dans le contexte de leur époque, les étapes de l’évolution de l’industrie manufacturière au Canada (p. ex., la révolution industrielle; la révolution technologique).

– analyser les tendances du marché du travail et dégager, à partir d’hypothèses, les habiletés qui seront les plus appropriées pour relever les défis de l’avenir.

– expliquer, en donnant des exemples, le mécanisme d’import-export entre le Canada et ses principaux partenaires économiques.

– comparer les conditions de l’industrie canadienne à celles d’un autre pays (p. ex., la concurrence; les réussites; les techniques de pointe; les innovations technologiques; la diversification; la spécialisation).

– expliquer l’apport de l’industrie touristique à l’économie d’un pays.

– utiliser le vocabulaire approprié au sujet à l’étude tel que «fabrication», «consommateur», «distribution», «import-export», «entrepreneur», «secteur quaternaire».

 

 

 

Mise à jour:  mars  2004

Jacynthe Proulx - FL05-02 ©
École des Sciences de l'Éducation 
Université Laurentienne, 2003-2004